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ARISE (se) - Daniel Bugno (Mai-2005)


Pour son troisième opus, Arise nous délivre un album fort intéressant et nous avons donc voulu en savoir un peu plus sur ce groupe méconnu. La parole est donnée au batteur, Daniel Bugno.

Line-up
: L.G. Jonasson (guitare), Erik Ljungvist (chant), Daniel Bugno (batterie), Patrick Skoglow (basse)

Discographie : The Godly Work Of Art (album - 2001), Kings Of The Cloned Generation (Album - 2003), The Beautiful New World (Album - 2005)



Metal-Impact. Vous avez commencé par faire des reprises de groupes de Metal avérés comme Pantera, Machine Head, etc. J'imagine que votre patronyme vient de Sepultura, pourquoi ce choix ?
Daniel Bugno. Ouais, c’est exact. Sepultura étaient nos idoles à cette époque et nous voulions un nom de groupe court et facile à retenir, tout évoquant quelque chose de puissant. Je plaisantais lorsque j’ai dit : « baptisons le groupe Arise ». D’abord ça nous a fait rire, et puis on y a réfléchi… et on s’est mis d’accord sur ce nom.

MI. Les reprises ont donc une part importante dans votre histoire, elles vous ont permise de vous trouver artistiquement parlant. A ce jour, vous n'avez que 2 reprises sorties: Motorbreath (Metallica-cover) qui se trouve sur votre 1er album "The Godly Work Of Art" et Communication Breakdown (Led Zep-cover). Pourquoi ces choix et allez-vous développer à l'avenir cet exercice ou passer à autre chose ?
Daniel. En fait, nous avons aussi repris un morceau de Carcass : « Keep on Rotting in the Free World », mais il devait figurer sur la version japonaise de « The Godly Work of Art », qui évidemment n’est jamais sortie là-bas. Nous avons choisi Motorbreath parce que nous devions trouver deux chansons supplémentaires pour le digipack et la version japonaise, alors nous avons enregistré les deux reprises que nous savions le mieux jouer à ce moment : Motorbreath et Keep on Rotting… En ce qui concerne la reprise de Led Zeppelin, c’est juste qu’il nous fallait enregistrer quelque chose en tant que groupe pour l’inclure sur un album. À cette époque, nous n’avions pas de contrat avec Spinefarm et Dwell records nous a contacté en nous demandant d’enregistrer une reprise de Led Zeppelin pour un album hommage. Au départ, nous préférions Kashmir, mais elle était déjà prise alors nous nous sommes rabattus sur un autre morceau auquel nous pensions pouvoir incorporer notre style. Le choix s’est porté sur Communication Breakdown et je crois que nous l’avons traitée de manière assez spéciale. On ne reconnaît pas LZ quand on l’entend (rires). Je ne sais pas si nous allons encore enregistrer des reprises. Erik et Patrik sont plutôt contre, alors ça reste à voir. Pour l’instant, nous en répétons certaines pour les inclure dans les concerts à venir.

MI. Pourquoi avoir pris la route vers les groupes scandinaves tels At The Gates et consorts pour définir l'orientation de votre style après avoir fait toutes ces reprises ?
Daniel. Lorsque nous avons commencé à composer nos propres morceaux, nous écoutions beaucoup de death Metal suédois, comme In Flames et Dark Tranquillity, et nous trouvions ça fantastique. Je ne comprends pas vraiment les gens qui nous considèrent comme une copie de At the Gates. Nous sommes plus heavy et plus mélodiques qu’ils ne l’ont jamais été. La seule chose que nous ayons en commun, c’est la vitesse et peut-être un peu la voix. En plus, je pense avoir été davantage influencé par Dark Tranquillity et Carcass que par At the Gates, mais cette comparaison avec At the Gates va probablement nous suivre toute notre vie. Ça ne change rien au fait que j’estime énormément ce groupe et que Slaughter of the Soul est probablement l’un des meilleurs albums de tous les temps. Mais j’insiste que le fait qu’ils ne constituent pas une influence majeure du groupe.

MI. Sur votre dernier album vous avez plutôt choisi de faire un titre à la Carcass plutôt que de faire une reprise d'eux, pourquoi ?
Daniel. Ah, tu as remarqué, hein ? Quand L-G est venu me trouver avec ce riff, je me suis exclamé : « C’est du Carcass tout craché, mais c’est super ! Faisons-en une chanson à la Carcass ! » Nous avons décidé de faire de ce morceau un hommage qui sonnerait tellement comme du Carcass que le public ne pourrait pas le manquer. Je pense que nous avons réussi notre coup, et puis c’est beaucoup plus gratifiant de rendre hommage à un groupe de cette manière que de reprendre simplement un de ses morceaux. L’original restera de toute façon incomparablement meilleur. Jusque-là nous n’en avons reçu que de bons échos et je crois moi aussi que ce morceau est assez bon.

MI. Vous sortez donc votre troisième album "The Beautiful New World", comment le situez-vous par rapport à vos deux précédents ?
Daniel. C’est le meilleur à ce jour, bien sûr, sans quoi nous ferions mieux d’arrêter de jouer. Nos compositions sont plus adultes et la tournée en compagnie de Vader nous a donné plus d’expérience en tant que musiciens. Nous jouons beaucoup mieux qu’avant et la production a également suivi le mouvement. J’étais très déçu par le son de « Kings… » qui ne nous correspondait pas du tout. Nous avons besoin d’un son clair, très heavy. Et puis cette fois, c’est L-G et moi qui composons la plupart des morceaux, plus Erik et moi, comme avant, ce qui peut aussi faire une petite différence. Erik s’attache plutôt à écrire des chansons midtempo, avec des influences néo, et le reste du groupe ne veut pas de cette merde. Si Erik avait carte blanche, il ne composerait que des chansons avec des claviers et des voix claires. Et je le répèterai toujours : il n’y aura jamais de ces trucs de crétin dans le groupe.

MI. Il y a toujours une part d'ironie dans le choix de vos noms d'albums qui souvent est imagée sur la pochette. Pourquoi ce choix et pourquoi avoir choisi pour votre dernier album un titre qui pourrait être interprété comme de la prétention ?
Daniel. En fait, depuis notre premier album, nous avons toujours eu des titres à rallonge, un peu ironiques et prétentieux. C’est devenu une espèce de marque de fabrique pour Arise. Au début, le nouvel album ne devait pas du tout porter ce titre, mais quand j’ai vu l’illustration de la pochette, je n’ai pas hésité à lui adjoindre à nouveau un titre à rallonge, et très ironique aussi cette fois-ci. Je crois qu’il correspond parfaitement à la pochette. Il sonne si faux que c’en devient absurde, et c’est ça qui le rend cool.

MI. Vous êtes plutôt un groupe engagé qui n'hésite pas à parler de tous sujets de société qui dérange comme la politique, du futur, comme pour nous mettre en garde des dérives de l'Homme. Peux tu nous en dire plus vos textes et votre engagement ?
Daniel. Comme c’est Erik qui a écrit tous les textes, c’est auprès de lui qu’il faut chercher la réponse à cette question. À mon avis, c’est à chacun de se faire sa propre opinion sur la signification des paroles. Par exemple, un type nous a demandé si « King of Yesterday, Slave of Today » parlait d’une gigantesque gueule de bois. J’ai relu le texte et je me suis dit qu’il pouvait très bien avoir raison ! De mon point de vue, c’est exactement ce dont parle cette chanson, même si je suis à peu près certain qu’Erik n’avait pas cette idée en tête. Je sais que ses textes sont plutôt personnels et s’intéressent à l’esprit humain, à la paranoïa et à ce genre de choses. Je pense que ces sujets l’intéressent beaucoup. Tu as raison de dire que certains morceaux parlent du futur et de politique, mais nous ne suivons aucune ligne préétablie. « How Long Can You Pretend », par exemple, parle de ceux qui cherchent à imiter les gens connus. Je pense donc que les messages de nos textes sont très variés et ne se focalisent pas sur l’horreur ou la mort, comme le font la plupart des autres groupes.

MI. Quel message souhaitez-vous éventuellement faire passer à travers votre musique ?
Daniel. Pas vraiment. Cette musique n’est pas le médium idéal pour faire passer des idées : la plupart du temps, les paroles ne jouent qu’un rôle secondaire pour les groupes de Metal. Mais l’avenir est quelque chose qui nous intéresse. Comme l’indique le titre, nous ne considérons pas le monde comme un endroit rêvé pour y élever nos enfants. La situation ne cesse d’empirer : nous nous évertuons à détruire notre environnement et nos ressources naturelles, à accroître la violence, les distinctions de classes sociales (les riches s’enrichissent tandis que les pauvres s’appauvrissent). Et pour couronner le tout, les machines privent les hommes de leur travail. Bientôt, nous n’aurons même plus besoin de sortir de chez nous, et ça me fait peur.

MI. Si tu veux rajouter quelque chose sur "The Beautiful New World"...
Daniel. Hé bien, l’enregistrement a été bouclé en trois semaines, surtout les week-ends, parce qu’Erik et L-G ne pouvaient pas enregistrer leurs parties pendant la semaine. Du coup, le travail en studio en a été un peu bouleversé, mais tout s’est bien déroulé. Mais si j’avais eu le choix, j’aurais préféré que l’enregistrement ne se passe pas ainsi. La prochaine fois, je leur demanderai d’enregistrer dans les règles. C’est aussi le premier album qui reçoit de bonnes critiques dans la plupart des pays : 9/10 dans Terrorizer ! Avant cela, nous avions des critiques très mitigées en dehors de la Suède.

MI. J'ai entendu dire que deux d'entre vous n'écoutent pas de Metal ! Peux-tu m'expliquer cet état de fait alors qu'ils jouent tous deux du Metal !?
Daniel. Ouais, c’est la pure vérité. Erik et Patrik n’écoutent quasiment pas de Metal… il suffit de regarder la coupe de cheveux d’Erik pour s’en rendre compte ! Je ne sais vraiment pas pourquoi ils sont là-dedans, mais ils doivent quand même s’amuser, sinon ils feraient autre chose. Par honnêteté envers soi-même, je crois qu’il faut aimer cette musique lorsqu’on est sur scène, mais je ne peux pas penser et agir à la place des autres. Si de mon côté j’écoute principalement du Metal et aussi parfois de la musique un peu plus douce, eux au contraire écoutent pour l’essentiel de la musique douce et parfois un peu de Metal. Nous sommes totalement à l’opposé les uns des autres et j’avoue que je ne suis pas très fans de cette situation.

MI. Le Metal est un véritable vivier dans votre pays, tant par ses fans que par ses groupes. Comment se vit le Metal dans votre pays et quelle image avez-vous de la scène française ?
Daniel. Il existe une espèce de mythe à propos de la Suède. Les gens croient qu’à chaque coin de rue, à Göteborg, ils vont croiser un membre d’un groupe connu, ce qui est faux, évidemment. Complètement faux. Mais quand on va en concert, on croise des tonnes de personnes qui ont leur propre groupe. Voilà pourquoi il est très difficile de jouer en Suède : il y a tellement de bons groupes que nous n’apprécions pas autant les concerts que des types d’Europe de l’Est, par exemple. La mentalité est complètement différente là-bas. Ici, nous sommes plus coincés, comme la plupart des Suédois en général. La scène Metal française n’est pas très importante ici. Si je demandais à des gens s’ils connaissent des groupes comme Arkhon Infaustus ou Deathspell Omega, la plupart me répondraient par la négative. Mais ceux qui connaissent ces groupes les aiment beaucoup.

MI. Le fait que la Suède est un véritable vivier, cela doit être dur d'être reconnu dans votre pays et j'ai entendu dire que "The Beautiful New World" n'a pas très bien été accueilli chez vous ?
Daniel. C’est on ne peut plus vrai. Ici, pour avoir de bonnes critiques, il faut aussi avoir de bons contacts avec les magazines. Ça pose quelques problèmes. Tu as raison de dire que le nouvel album n’est pas très apprécié ici, et c’est le seul pays qui le pense ! Notre propre pays… La mode chez les journalistes musicaux du coin est d’adorer la musique de crétin, prétentieuse, d’écoute difficile et ennuyeuse. Si tu sonnes comme Isis, Neurosis, Mars Volta ou Sunno)) tu auras des critiques du tonnerre. Ça ne rate jamais. Avec ce genre de musique, on peut dupliquer cent fois le même morceau et crouler quand même sous les éloges. Parce que c’est cool d’aimer ce genre de musique. Moi, je déteste.

MI. Vos trois albums sont signés Spinefarm Records, j'imagine que cela se passe bien avec eux ?
Daniel. "The beautiful New World" est notre dernier opus pour Spinefarm records. Je ne sais pas ce qui va arriver ensuite. Je sais que nos deux premiers albums ne les ont pas convaincus, mais ils trouvent quand même le nouveau super. Ils ont aussi remarqué les bonnes critiques que nous avions reçues en dehors de Suède, ce qui pourrait nous valoir un nouveau contrat. Je pense qu’ils ont de bons comme de mauvais côtés. Espérons seulement qu’ils feront du bon boulot avec ce nouvel album, parce que maintenant il faut vraiment qu’on aille jouer en Europe.

MI. Tu es pas mal sollicité pour jouer dans d'autres groupes suédois, vas-tu jouer dans un autre groupe ou as-tu décidé de te consacrer pleinement à Arise ?
Daniel. Hé bien, j’ai reçu une ou deux propositions mais rien que je n’aie pu refuser. En fait, je dispose de si peu de temps en ce moment qu’il est très difficile de m’impliquer dans un autre groupe. Quand je m’implique, je veux participer à fond et ça prend beaucoup de temps. On m’a demandé de faire partie de Sacrilege (Black Sun records) avant qu’ils arrêtent de jouer. J’aurais adoré, mais ils ont décidé de ne pas continuer. Dommage. Je les trouvais vraiment bons. Autrement, je n’ai aucun autre projet parallèle. Bien sûr, je pourrais y réfléchir, mais il faudrait que le groupe joue exactement ce dont j’ai envie sur le moment et qu’il soit basé dans le coin pour que je n’aie pas à me déplacer pour les répétitions. J’ai peut-être quelque chose en vue, on verra cette année…

MI. En as-tu marre d'être perpétuellement comparé à At The Gates ?
Daniel. Affirmatif. Comme je l’ai dit tout à l’heure, je ne comprends même pas qu’on nous compare à eux. Je reconnais qu’il existe quelques ressemblances, mais pas suffisamment pour qu’on nous serine tout le temps avec ça. Je pense que nous sonnons davantage comme Hypocrisy, le Soilwork des débuts et Carcass.

MI. Quelle est ta formation musicale ? Et si tu veux nous parler de ton instrument, c'est le moment...
Daniel. Je n’ai jamais eu de professeur. Je suis totalement autodidacte. Les progrès sont plus lents et j’ai moins le temps de m’exercer. En fait, je m’exerce essentiellement durant les répétitions, c’est à dire environ deux fois par semaine, parfois seulement une. Je sais que c’est trop peu, mais je m’entraînerai davantage lorsque j’en aurai le temps. Je viens de trouver un nouveau boulot et ça me prend tout mon temps. C’est très dur d’être un batteur, à la fois physiquement et sur un plan financier. Ça coûte très cher de jouer de la batterie, mais j’adore ça et je n’ai aucun don pour la guitare. Alors je suis coincé avec ma batterie (rires).

MI. Selon toi, les triggs sont-ils nécessaires dans le Metal ?
Daniel. Oui. Surtout en concert. La caisse claire ne s’entend pas bien en concert quand on joue très vite. Le batteur de Defleshed pourrait peut-être arriver à la faire entendre, mais il est extrêmement bon. Je crois qu’un bon batteur parviendra sans problème à enregistrer un album sans triggers, à condition de littéralement frapper la batterie pour obtenir un son correct, et non la tapoter avec les baguettes. Je veux que la batterie s’entende distinctement. Regarde Tommy Lee… Maintenant on l’entend bien. Je dirais donc qu’en concert, oui, et en studio… hé bien… à la rigueur sur la grosse caisse.

MI. Quelle est la question à laquelle tu en as marre de répondre et quelle est celle à laquelle tu aimerais répondre (avec les réponses s'il te plaît) ?
Daniel. Toutes ces comparaisons avec At the Gates m’ennuient profondément. On a commencé par me demander si nous étions un clone de ATG, et aujourd’hui on veut savoir ce que ça me fait qu’on nous compare sans cesse à eux. Je me demande si Haunted doit répondre aux mêmes questions à propos de Slayer dans chaque interview… ?
Les questions qui me plaisent sont celles qui montrent que l’interviewer nous connaît vraiment. Quand il ou elle a déjà entendu parler de nous et nous pose des questions en fonction de ce qu’il/elle connaît du groupe. Tu rentres dans cette catégorie. Par exemple, tes questions concernant les titres d’album qui sont toujours ironiques, ce que je pense des triggers ou les rumeurs selon lesquelles deux d’entre nous n’écoutent pas de Metal montrent que tu connais le groupe et à mon avis que tu es un bon interviewer.

MI. Pour conclure, as-tu un message à adresser à tes fans français ?
Daniel. Ouais, j’espère vous voir en tournée cette année. Nous recevons tellement de messages pour nous demander quand nous viendrons en France, en Italie, en Angleterre, en Allemagne, etc. que nous faisons notre possible pour partir sur les routes. Évidemment, la décision appartient à Spinefarm, mais avec votre aide, si vous leur dites ce que vous pensez du nouvel album et d’Arise en général, et que vous leur donnez en plus quelques bonnes critiques, ça ne devrait pas être si difficile.


Ajouté :  Jeudi 19 Mai 2005
Intervieweur :  Blasphy De Blasphèmar
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Hits: 37473
  
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