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ADX (FRA) - Philippe "Phil" Grelaud (Mai-2016)


ADX est un gang que l'on ne présente plus. Son nom est gravé à jamais au sein du patrimoine Metal français. Il faut dire que les bougres ont débuté en 1981 et affichent trente-cinq ans de bons et loyaux services sur les scènes françaises et étrangères. Un parcours hors norme qui leur a permis de traverser toutes les modes sans jamais renier leur style immédiatement identifiable façonnés au fil du temps ! Un exemple pour toute une génération à l'instar de VULCAIN, SATAN JOKERS ou encore TRUST qui eux aussi n'ont jamais vraiment disparu. Si leur parcours n'a pas toujours été simple, ADX n'a jamais courbé l'échine et a su rester fidèle à ses valeurs. Depuis la sortie d'Ultimatum qui a été accueilli avec un enthousiasme exceptionnel, la bande à Phil surfe sur un succès bien mérité et a pu étendre son emprise à travers toute l'Europe. L'inspiration est au rendez-vous grâce à un retour aux sources qui a rassuré les fans de la première heure. Non Serviam le nouveau méfait de nos Isariens est d'une redoutable efficacité et devrait séduire les jeunes et les moins jeunes tant l'osmose musicale est parfaite. On découvre un combo au sommet de son expérience et de son art. Il n'en fallait pas plus pour que votre serviteur soumette à la question Phil chanteur et membre fondateur de la formation légendaire. Entretien sympathique avec un musicien ayant le sens de l'humour et les pieds sur terre. Magnéto Phil, c'est à toi !

Line-up
: Philippe "Phil" Grelaud (chant), Pascal "Betov" Collobert (guitare), Nicolas "Nicklaus" Minier (guitare), Julien Rousseau (basse), Didier "Dog" Bouchard (batterie)

Discographie : Démo (démo - 1984), Le Fléau de Dieu (démo – 1984), Exécution (album - 1985), La Terreur (album - 1986), Suprématie (album - 1987), Exécution Publique (live album - 1988), Weird Visions (album - 1990), Résurrection (album - 1998), In Memorium (compilation - 1998), VIII Sentence (live album - 2001), Division Blindée (album – 2008), Terreurs (album – 2010), Immortel (album - 2011), Ultimatum (album - 2014), Non Serviam (album - 2016)

M-I Interviews du groupe : Tout le groupe (Août-2012), Philippe "Phil" Grelaud (Mai-2016)

Crédit Photo : LudoPix.com (Retrouvez d'autres photos sur ce lien)



Metal-Impact. Aujourd'hui vous rencontrez les médias français. Comment se déroule cette journée de promotion ?
Philippe "Phil" Grelaud. Très très bien. On a rencontré des gens sympathiques avec qui on a eu une bonne accroche. J'en connaissais certains de vue, d'autre pas du tout. On a eu de bonnes questions et de bons délires. C'est impeccable.

MI. Quel souvenir gardes-tu de votre concert parisien au Divan du monde en janvier 2015 ?
Phil. C'était très bien, le Divan du Monde est une salle sympa à échelle humaine. C'est parfait pour assurer la promo d'un album. C'était du bonheur, le public était présent et il y avait une bonne ambiance.

MI. En 2015, vous avez aussi fêté les trente ans de la sortie d'Exécution !
Phil. Oui, on a fait beaucoup de dates. On a eu notamment l'opportunité de jouer à l'étranger et on a reçu un très bon accueil. C'est à souligner car il y a des pays ou on n'avait jamais joué. Cela fait plaisir d'avoir un tel engouement, on a donné des concerts au Canada, en Grèce, en Italie et en Allemagne. On a rencontré des fans qui chantaient en phonétique, cela fait plaisir car ça prouve qu'ils ne se focalisent pas uniquement sur l'anglais. D'ailleurs, je ne comprends toujours pas pourquoi le français n'a toujours pas sa place. On se tue à dire que le chant en français ne déplait pas aux étrangers mais qu'au contraire ils apprécient. Ce sont surtout les journalistes français qui ont dénigré le chant en français. Les étrangers n'ont jamais été négatifs par rapport à cela, ils prennent le morceau tel qu'il est.

MI. As-tu été surpris d'un tel accueil trente ans après sa sortie ?
Phil. Oui totalement et cela fait plaisir de voir qu'il y a encore un engouement pour ce que l'on fait que ce soit de la part des fans de la première heure ou des nouveaux qui viennent de nous découvrir. C'est du grand bonheur !

MI. As-tu l'impression qu'il y a de plus en plus d'opportunité pour ADX hors de l'hexagone ?
Phil. Oui, complètement. On a changé notre façon de travailler. On collabore avec des gens différents qui ont la niaque et qui ont envie. Cela fonctionne bien, ce qui n'a pas toujours été le cas avec les anciennes maisons de disques. Cette équipe a des contacts à l'étranger, ils ont d'ailleurs été surpris par l'enthousiasme qu'il y a pour ADX. Rien que pour la promo du petit dernier cela fonctionne très bien en Allemagne. On a un concert de prévu en Suède et on a de bonnes retombées des Etats-Unis, chose rare. Idem pour le Japon. On se donne beaucoup plus les moyens d'avancer. On a essayé de prendre contact avec des gens intéressés par le combo et il y en a pas mal. C'est une chose que l'on ne faisait pas avant, c'est un peu de notre faute. Là il y a de la demande, on est prêt à jouer partout ne serait-ce qu'en Amérique Du Sud. On a constaté que les réseaux sociaux sont à la portée de tous et qu'il y a une réelle passion pour ADX. Il y a des fans qui se font tatouer notre nom sur la peau ! On ne pensait pas que cela existait.

MI. C'est quelque chose qui vous touche ?
Phil. Oui, cela nous touche beaucoup. En tant que musicien, c'est la reconnaissance de ce que l'on fait. Tu prends conscience que tes morceaux plaisent et c'est la vraie reconnaissance pour un musicien. Cela n'a rien à voir avec le coté commerciale du disque. C'est un échange avec les gens et c'est superbe.

MI. Ultimatum est sorti il y a deux ans, c'était une étape importante pour toi ?
Phil. Oui, on ne voulait pas s'éloigner du pur ADX. C'est tellement dur d'avoir une identité musicale, c'est une reconnaissance par rapport au public. C'est quelque chose qui n'est pas donné à tous les groupes. On ne voulait pas s'éloigner de notre style. On a matière à faire des morceaux nouveaux avec des sonorités différentes mais toujours avec la patte ADX. C'est important et ça plait. Il y a une mouvance qui se crée autour de ça et tant mieux. C'est judicieux de continuer à développer notre style. Au stade où on en est si on change on va se ramasser grave.

MI. Non Serviam est votre dixième opus, c'est assez rare pour une formation française...
Phil. Oui, on en a conscience. Déjà nous ça nous étonne beaucoup. On est heureux de voir qu'il y a encore des gens qui veulent nous écouter et qui sont disponibles pour faire des interviews avec nous. Il y a un suivi des fans, des médias qui nous rappelle à chaque instant qu'il y a des gens qui aiment bien ce que l'on fait. C'est du pur bonheur.

MI. Est-ce que la composition de Non Serviam a été facile ?
Phil. Oui, l'écriture est toujours facile. On a de la matière. Sans avoir la grosse tête, je pense que l'on a beaucoup d'idées. Si on nous demande de faire un album dans six mois, on sait que l'on va sortir quelque chose de valable. On compose tous ensemble. Bien sûr, il y a des titres qui partent à la poubelle mais il y a toujours une osmose pour créer quelque chose. Sur Non Serviam, il y a des textes que l'on n'a pas mis parce que l'on ne trouvait pas le bon thème musical qui pouvait aller avec. On a des riffs et des écrits en réserve. On a plein de matière en stock.

MI. Sur Ultimatum, vous avez fait appel à Didier Chesneau. Pourquoi ne pas être retourné une fois de plus avec lui en studio ?
Phil. Chacun de nos albums a une identité. Dans ce cas précis on voulait travailler sur le son. On est toujours en bon terme avec Didier Chesneau mais on voulait un changement, travailler avec des gens qui apporte autre chose avec leur expérience. On avait choisi un son entre nous et on l'a découvert en écoutant ce qu'avait fait Francis Caste au studio Sainte Marthe. On l'a contacté, il connaissait ADX. On est tombé d'accord sur la direction que l'on voulait obtenir en terme de son.

MI. Cela a été facile de travailler avec lui ?
Phil. Oui tout s'est très bien passé. C'est quelqu'un de très ouvert qui est très présent. Il te laisse faire ce que tu veux et il a aussi de très bonnes idées. Lorsqu'on faisait des prises, il nous donnait son opinion et cela pouvait s'avérer très sympa. Souvent on avait le morceau en tête et lui avait une réaction différente en l'écoutant. C'était important qu'il nous apporte un plus. Nous avons travaillé dans la bonne humeur et tout c'est très bien passé. Il a le même humour que nous donc c'était parfait. Dans tous les studios où on a enregistré on a toujours eu de bons contacts avec les gens. On peut croire qu'à chaque opus on change de studio mais ce n'est pas volontaire. Cette fois-ci on voulait une sonorité plus hargneuse. Nous voulons quelque chose de nouveau à chaque opus.

MI. Au final que vous a-t-il apporté ?
Phil. Il a apporté le petit côté hargneux que l'on peut retrouver sur nos premier opus. La pêche directe. Les morceaux te rentrent dans la tête directe. On a retrouvé avec lui des petites choses que l'on avait perdues. On a essayé de nombreux studios, on a même été en Suède, on a écouté ce qu'il faisait. On a pris rendez-vous mais au final c'est Francis Caste qui nous a séduits.

MI. Non Serviam est une expression latine qui signifie : "Je ne servirai plus", quel sens donnez-vous à cette expression ?
Phil. C'est un titre qui sonne bien. Le côté latin a été pris dans un esprit purement marketing. On veut des titres qui ont une connotation internationale. Ultimatum est utilisé partout dans le monde. Non Serviam est moins facile mais le côté latin est compréhensible pour tout le monde que ce soit au Japon ou dans le reste du monde. Il sonne bien et permet de passer les frontières, il s'adresse à tous les pays quel que soit la langue.

MI. La pochette représente un prêtre tenant une bible en feu dans sa main, quel est le symbole que vous voulez développer à travers cette image ?
Phil. Dans ce cas précis le titre et le sujet sont issus d'un morceau. On a soumis des idées Stan W Decker, il a commencé à faire des esquisses qu'il nous a envoyées. Ensuite on valide ou pas son projet, c'est un travail d'équipe, on se renvoie les données et à la fin on est arrivé à ce résultat. Il ne prend pas de décision sans que nous lui donnions notre aval. Si cela ne nous plait pas, il rectifie.

MI. Depuis vos débuts, vous traitez de thèmes historiques. Est-ce que cela vous demande beaucoup de travail en terme de recherche ?
Phil. Oui, on s'intéresse à toutes données historiques. J'écris souvent avec Didier "Dog" Bouchard, notre batteur. C'est vrai qu'il y a beaucoup de connotation historique mais qui restent anecdotiques. On ne refait pas l'histoire. Il y a aussi un coté fantastique que l'on retrouve sur tous nos Lp qui nous plait. Ce sont des sujets inépuisables. On essaye de peaufiner les textes pour que cela soit plus joli à entendre et que ce soit lisible et intéressant.

MI. A l'écoute de vos titres, le chant fait que les paroles sont compréhensibles sans que l'on ait besoin de prendre le livret. Effectuez-vous un travail spécifique à ce niveau ?
Phil. C'est dans la façon que j'ai de travailler au niveau du chant. Je veux que les gens comprennent les textes, il faut que les thèmes principaux de chaque morceau soit compréhensible. Je travaille beaucoup dans ce sens.

MI. Vous vous êtes séparé de Bernard Yves Querel, votre guitariste depuis 2006. Que s'est t'il passé ?
Phil. Dans une formation qui existe depuis de nombreuses années, il y a parfois des désaccords musicaux ou personnels. Je ne veux pas entrer dans les détails car la vie d'un groupe c'est souvent comme un couple. Là il y a eu séparation, on a trouvé un remplaçant en la personne de Nicklaus qui a bien voulu le remplacer.

MI. Est-ce que le remplacement de Bernard Yves a été simple ?
Phil. Oui dans le sens ou on connaissait déjà Nicklaus et on savait ce qu'il faisait. On l'a donc contacté et il était intéressé pour jouer avec ADX. Cela s'est fait naturellement et simplement.

MI. Quelles sont les qualités qu'il faut avoir pour devenir membre d'ADX ?
Phil. Il faut être très con ! [Rires] ... En fait, il faut avoir un niveau efficace. Ensuite, il y a le côté humain qui est très important, il faut aussi avoir de l'humour si possible. On s'intéresse aussi à la façon de voir les choses du musicien, c'est l'esprit du groupe. Si le gars joue comme un dieu mais que c'est une grosse tête de con alors une chose est sûre : il ne fera pas partie d'ADX.

MI. Que vous a apporté musicalement Nicklaus ?
Phil. Il a participé à l'écriture de Non Serviam. Il s'est totalement investi par ses solos et sa façon de jouer. Après dans l'avenir je pense qu'il va s'investir beaucoup plus dans le processus de composition. Au départ, tu es toujours un peu timide. Il a fait de très belle chose mais en étant dans le doute, il avait besoin d'être rassuré. Mais le contexte était très bon et il s'est beaucoup impliqué dans le projet.

MI. En février 2016, vous avez réédité La terreur (1986) et Suprématie (1987). Quel regard portes-tu sur ces deux albums trente ans après ?
Phil. Ce n'est pas à moi ou à un autre membre d'ADX de porter un jugement sur ces opus. J'adore tout ce que l'on a produit. Si on les a enregistré c'est parce que ces morceaux nous plaisaient. Après, il y a aussi eu des erreurs de jeunesse. Mais on n'a jamais renié un seul album. Je suis très content que les rééditions fonctionnent et bien. Il y a des fans un peu plus anciens qui l'ont racheté. D'autres plus jeunes se le sont procuré pour découvrir le ADX de cette époque. C'est une bonne opération qui a refait découvrir la formation à certains et pour d'autres c'est une découverte en marge de la sortie des nouveaux opus. On essaye de créer un suivi car il y a des personnes qui ont découvert ADX avec Ultimatum et qui souhaitent écouter ce que l'on avait enregistré avant. Ils ont envie de passer par un support autre que le net ou les copains, ils veulent posséder l'objet.

MI. Tu gardes des bons souvenirs de l'enregistrement de ces deux galettes ?
Phil. Toutes les périodes d'ADX sont plaisantes.

MI. Ce ne sont pas des albums qui t'ont marqué, pour certains ils sont considérés comme cultes !
Phil. Non, il y a des disques ou il y a certaines erreurs mais on les a enregistré et on aime bien tous les titres qui y figurent. On a fait des erreurs de jeunesse moins maintenant car on est plus tout jeune ! [Rires] ... On ne regrette aucuns albums, ils font partie de la vie de la formation. Mais on garde de bons souvenirs pour chacun de nos disques.

MI. Sur Facebook, j'ai vu une photo de Rob Halford tenant Suprématie à la main !
Phil. Oui je m'en souviens j'étais là. On a passé une journée avec lui, c'était super. Il est très gentil et avenant. C'était génial.

MI. Est-ce que JUDAS PRIEST est une de vos influences ?
Phil. Oui, ils nous ont vraiment influencés. Toute cette génération, JUDAS PRIEST, KISS, etc. ont eu un impact sur ADX.

MI. Depuis plusieurs années, il y a un grand retour des formations françaises issues des années 80, est-ce que cela t'étonne ?
Phil. Non, tous les combos ont leur place. On a pas mal tourné avec VULCAIN. Ils ont leur public et nous aussi et ce mélange est très sympa.

MI. Existe-t-il une fraternité entre vous ?
Phil. Je n'irais pas jusque-là mais il y a eu bonne entente entre nous. Chacun à son petit business. Lorsque l'on se rencontre c'est toujours amical, on boit des verres, on blague. Après on a tous eu des parcours différents. Il y a de bons contacts entre nous c'est évident.

MI. Vous avez débuté en 1982, avais-tu la sensation qu'il se passait quelque chose d'unique au niveau du Hard Rock français à cette époque ?
Phil. Oui ça bougeait. Il y avait un engouement pour ce style de musique. Les maisons de disques nous ouvraient leurs portes. C'était extraordinaire à cette époque.

MI. Comment te sens-tu avant la sortie de Non Serviam ?
Phil. Comme les autres musiciens, je suis fébrile. C'est un peu comme lorsque tu attends pour un accouchement. Malgré le fait que toutes les chroniques soient bonnes, l'avis principal c'est celui du public. On a toujours une petite appréhension avant que l'album sorte, on attend de savoir quel accueil il va avoir.

MI. Pour terminer, qu'as-tu envie de rajouter à propos de Non Serviam ?
Phil. Je lui souhaite une longue vie et que l'on puisse avoir l'opportunité de le faire vivre en concert en France et à l'étranger. Que ce soit du bonheur pour tout le monde.


Ajouté :  Samedi 10 Juin 2017
Intervieweur :  The Veteran Outlaw
Lien en relation:  ADX Website
Hits: 24437
  
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