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SEYMINHOL (FRA) - Chris Billon Laroute et Thomas Das Neves (Juin-2015)


Si le nom de SEYMINHOL ne vous dit rien, il vous faut vite replonger dans l'histoire du Metal français pour élucider cette affaire car on a ici n'a pas affaire à de jeunes loups aux dents longues mais à un gang de vétérans qui a déjà une longue histoire derrière lui ! Le combo s'est formé en 1990 et affiche fièrement 25 années au compteur ! Impressionnant, un vrai dinosaure qui renait de ses cendres après six ans d'absence de la scène metallique. Cette résurrection on la doit surtout à une amitié forte qui unit les musiciens depuis leur tout début. Après avoir sorti Ov Asylum, un opus qui les a vu s'éloigner de leurs racines et qui n'a pas rencontré son public, les bougres ont décidé cette fois-ci de revenir avec un album à la hauteur de leur talent et de se recentrer sur ce qu'ils maitrisent à la perfection : le concept historique. Exit la psychiatrie, ils ont choisi cette fois-ci de s'attaquer à Hamlet, un projet ambitieux et complexe qu'ils ont réussi à sublimer dans un album ébouriffant et complexe parfois difficile d'accès. Un travail d'orfèvre qu'ils ont peaufiné de nombreux mois en studio et qui se décline comme une pièce théâtrale avec actes et entractes. Le résultat est bluffant, on est face à une véritable pièce de théâtre mise en musique par SEYMINHOL qui vise à vous plonger dans un univers mis en scène version Metal. Un vrai challenge car le risque est grand de s'attaquer à une tragédie de William Shakespeare en version Metal. Aucunes formations l'ayant tenté avant eux, il faut saluer cette initiative hors du commun ! Une originalité et une inventivité qui fait toute la différence et ce à bien des égards. Pour en savoir un peu plus sur ce projet pharaonique, votre serviteur a passé à la question les Sieurs Chris et Thomas dans un bar Parisien très Rock'n'roll ! Magnéto les gars, c'est à vous !

Line-up
: Kevin Kazec (chant), Nicolas Pelissier (claviers et guitares), Chris Billon Laroute (basse), Tomas Das Neves (batterie)

Discographie : Northern Recital (2002), Septentrion's Walk (2005), Ov Asylum (2009), Heathen Verse (2014), The Wayward Son (2015)

M-I Interviews du groupe : Kevin (Mars-2002), Tout le groupe (Oct-2003), Chris Billon Laroute et Thomas Das Neves (Juin-2015)



Metal-Impact. Bonjour, vous venez de donner un concert à Metz dans le cadre d'une release party. Comment était le show ?
Chris Billon Laroute. Cela faisait un moment que l'on n'avait pas donné de concerts, six ans exactement. On a donné un concert chez moi dans un bar, histoire de se remettre en bouche. Le show au Trinitaire s'est très bien passé, la release party était super, il y avait du monde.

MI. Quelles sensations aviez-vous de vous retrouver sur scène après tant d'années ?
Chris. Les pétoches un peu ! [Rires] Mais une fois que tu es dessus, cela revient vite et puis on avait la niaque.

MI. Le dernier album Ov Asylum est sorti en 2009 ensuite vous avez décidé de faire un break, quelles en étaient les raisons ?
Chris. Ce n'est pas que l'on en avait marre mais peut être que l'on en avait trop fait. C'est vrai que c'est un opus qui n'a pas été très bien accueilli par la critique même si je pense que c'était un très bon album. Le son n'était pas terrible mais je pense qu'il y avait de la matière. On avait décidé de prendre un virage c'est-à-dire que l'on voulait changer un peu de style mais cela n'a pas été très bien accueilli.

MI. Qu'est-ce qui vous a poussé après juste deux albums à vouloir changer de style ?
Chris. Je ne sais pas pourquoi. Quand on travaillait sur cet opus là on rigolait entre nous, on se disait qu'on allait se faire descendre ! [Rires] Sauf que lorsque c'est arrivé, on l'a très mal prit. Ca a fait très mal.

MI. Qu'est-ce qui vous a poussé à revenir après tant d'années ?
Chris. L'amitié. On ne voulait pas rester sur Ov Asylum. On aimerait prouver à tous que l'on est capable de faire de super albums.

MI. Qu'est-ce qui vous a poussé à concevoir un concept sur le thème d'Hamlet ?
Chris. C'est un défi de travailler sur une pièce, ce n'est pas évident. Maintenant, on à la chance d'avoir Kevin notre chanteur qui est docteur en histoire et qui connait ses sujets. C'est quelqu'un de très cultivé. C'est lui qui a poussé sur Hamlet. On aime bien toute l'époque du 19ème siècle et tout ce qui va avec.

MI. Avez-vous l'impression de prendre un risque avec The Wayward Son qui est très complexe ?
Chris. Tu prends toujours un risque quand tu sors un album. Après avec Ov Asylum, on a sorti un disque simple et cela a été mal accueilli ! [Rires]
Thomas Das Neves. Souvent les gens disent ils ont visé trop haut, ils n'arrivent pas à fournir quelque chose à la hauteur de leurs ambitions. Il y a quand même un gros risque dans ce style-là.
Chris. Hamlet tout le monde en a entendu parler, même si tu ne connais pas l'histoire.

MI. Comment s'est déroulée la conception de The Wayward Son ?
Chris. Il nous a fallu environ un an et demi de travail entre la composition, l'enregistrement et tout le reste. Six mois ont été nécessaires pour mettre au point le concept, les couleurs et les ambiances. Après chacun a du s'approprier les morceaux, il a fallu les mettre en boite et faire le mixage ainsi que le mastering. Tout ça nous a pris un an et demi. Le travail était assez intensif.

MI. Dans quel état d'esprit étiez-vous pour l'écriture des titres ?
Thomas. Ils m'ont appelé pour enregistrer cet opus, avant je ne faisais pas partie de SEYMINHOL. On avait envie de relancer la formation qui avait cessé toute activité. Il y avait une envie de leur part et de mon côté. Je voulais m'intégrer et participer au projet.

MI. Quel était ton sentiment d'intégrer une formation qui a autant d'expérience ?
Thomas. C'est facile de s'intégrer, ce sont des gens simples et accueillants. Il n'y a pas de prise de tête, d'égo surdimensionné. Tout s'est passé naturellement. J'avais déjà bossé avec Kevin sur l'album de SYMAKIA qui est sorti en 2011. Et puis aussi avec Nicolas qui était le bassiste sur scène de SYMAKIA. On se connaissait déjà plus ou moins. Le fait qu'ils m'aient proposé ce projet fait toujours plaisir.

MI. Nicolas Pelissier a produit The Wayward Son, est-ce facile de travailler avec lui ?
Chris. Oui, c'est un mec simple. Ce n'est pas lui qui va te prendre la tête. Il sait ce qu'il veut et il sait où il va. Mais c'est vraiment très facile de travailler avec lui.
Thomas. Il est ouvert à la critique. On peut communiquer s'il y a des choses qui ne vont pas. On a modelé le truc ensemble.

MI. Vous avez confié le mastering à Nicolas Drey, pourquoi avoir fait appel à lui ?
Thomas. Effectivement, c'est Nicolas Drey qui est un ami de longue date avec qui j'ai déjà joué dans d'autres projets et qui a un studio, il fait du son super propre. On lui a proposé de masteriser The Wayward Son. Il a fait un essai et cela correspondait à ce que l'on voulait, c'est pour cela que l'on a choisi de travailler avec lui.

MI. En invité on retrouve Jo Amore l'ancien chanteur de NIGHTMARE, c'est un ami ?
Chris. Non, ce n'est pas un ami. C'est Nicolas qui l'a appelé et lui a proposé le projet. Il a demandé une écoute et ensuite il a accepté de participer au projet.

MI. Vous avez enregistré ensemble ou à distance ?
Chris. Il l'a fait à distance.

MI. Qu'appréciez-vous dans la création et la réalisation de concept comme celui-là ?
Chris. Ce qui est plaisant c'est que tu racontes une histoire avant tout. La dessus tu peux broder avec les interludes, rajouter des violons, de la harpe, plein de choses. Tu suis un fil conducteur c'est ça qui est sympa.

MI. Quelle est la principale difficulté dans ce type de projet ?
Chris. De le composer ! [Rires]
Thomas. Il faut réussir à coller au concept toutes ces nuances et ambiances différentes.

MI. Est-ce que l'enregistrement a été facile ?
Chris. Pour moi non, c'est un opus qui est quand même très complexe. Ce n'est pas un disque facile. A la première écoute pour certains auditeurs cela peut être compliqué.

MI. Pourquoi avoir choisi The Duellist comme single ?
Thomas. Pour le clip, "The Duellist" c'est une scène forte d'Hamlet. C'est un morceau assez rentre dedans. Il y a des chœurs et c'est assez pêchue, c'est un titre assez complet. Il représente un passage fort dans Hamlet, on a choisi celui-là mais il y a d'autres titres qui auraient pu faire l'affaire.

MI. Pour le clip, vous avez collaboré avec Guillaume et Christian Klein. Comment s'est déroulé le tournage ?
Thomas. Le clip sortira en Octobre normalement. Il y a encore des tournages qui n'ont pas été fait. On a tourné dans l'Opéra de Metz, on a eu la chance de pouvoir travailler dans de très beaux endroits. Les gens avec qui on a collaboré sont vraiment bien calés, ce sont des professionnels. Ça se passe bien et les images sont belles.

MI. Est-ce que ce sera un clip en costumes d'époques ?
Chris. Oui en relation avec le thème. Tout est scénarisé, c'est comme un petit court métrage.

MI. Vous avez débuté en 1990 ?
Chris. Oui c'est ça. On a formé le groupe en 1990 et donné notre premier concert en 92.

MI. Vous sentez vous comme des précurseurs dans ce style de concept historiques ?
Chris. Non, précurseur je ne pense pas. Il y a des gens qui l'ont fait avant nous.

MI. Et en France ?
Chris. Ah en France peut être ! Je ne peux pas répondre à ta question.

MI. Comment expliques-tu que cela n'ait pas fonctionné, penses-tu que vous étiez trop ou pas assez en avance ?
Chris. Non, je ne crois pas.
Thomas. Je n'étais pas dans le groupe. Mais les deux albums ont été bien accueilli, ils ont bien été noté par la critique. Il n'y avait pas de note au-dessous de dix-huit sur vingt.
Chris. Oui, les critiques étaient bonnes. Maintenant, ça n'a pas plus fonctionné que cela mais je ne sais pas pourquoi. Est-ce que l'on est arrivé à la bonne époque ?
Thomas. Il y avait aussi la crise, ça se vendait de moins en moins.

MI. C'est différent en France ?
Chris. C'est moins évident. Il y en a qui y arrive bien sûr.

MI. Tu n'as pas l'impression que quelque chose vous a échappée ?
Chris. Peut-être mais on va essayer de rattraper cela ! [Rires]

MI. Pourquoi Julien Truttman a déclaré forfait ?
Chris. Il ne voulait pas reprendre, il fait autre chose maintenant.

MI. Thomas, tu es le nouveau batteur. Que penses-tu avoir apporté à SEYMINHOL ?
Thomas. Oh là, c'est compliqué. J'essaie de m'adapter au concept. Nico voulait des passages un peu Rock Pop, un peu bourrin, ect. Pour répondre à ta question, c'est m'adapter à ce que voulait créer la formation en terme d'ambiances.
Chris. Il nous a ramené une grosse patate. On a de la chance, c'est un mec très sympa.

MI. Chris, tu es la depuis la création de SEYMINHOL. Quel regard portes-tu sur ces 25 ans qui se sont écoulés ?
Chris. J'ai que des bons souvenirs. Le moins bon on le met de côté, on oublie c'est pour tout le monde pareil. Je n'ai que des très bons souvenirs avec SEYMINHOL, c'est pour cela que l'on m'a proposé de remonter le combo. J'ai dit oui tout de suite. J'espère pouvoir emmener SEYMINHOL plus loin. C'est ma formation de cœur.

MI. Avez-vous fêté vos vingt-cinq ans d'existence ?
Chris. Non, mais ça peut se faire.

MI. Northern Recital a très bien vendu, vous étiez distribué en Russie, en Finlande et au final vous n'avez reçu qu'un chèque de 500 Dollars !
Chris. Oui ! [Rires] On n'a eu aucun regard sur les ventes de cet album en Russie. On avait signé un contrat de licence et ensuite nous n'avons plus eu de nouvelles. J'ai reçu un cd parce qu'un fan anglais avait commandé un cd et il a reçu le pressage russe. Il nous l'a envoyé pour avoir une dédicace et je lui ai demandé si je pouvais lui envoyer un cd français à la place.

MI. Après la sortie de Septentrion's Walk, Andy Kuntz (VANDEN PLAS) craque sur SEYMINHOL et vous propose de signer chez LMP ainsi que de vous produire mais vous refusez... Pour quelles raisons ?
Chris. C'est peut-être l'erreur que l'on a faite. C'était compliqué à notre humble avis. Ils avaient le droit de regard sur tout, la musique, la pochette, etc. Ils voulaient aussi que l'on change de nom, il y avait beaucoup de choses qui nous ont poussé à dire non. Maintenant, peut être que si on avait dit oui le groupe aurait mieux fonctionné ou peut-être pas. On ne le saura jamais. Mais il ne fallait pas toucher au nom.

MI. Justement qu'elle est la signification de SEYMINHOL ?
Chris. A l'époque de la formation initiale le guitariste était fan d'Indiens d'Amérique du Nord. Les Séminoles c'était une tribu indienne. On a juste changé l'orthographe parce que cela ne collait pas au logo ! [Rires]

MI. Vous avez ouvert deux fois pour Blaize Bayley, c'est un bon souvenir ?
Chris. Magnifique, Blaize Bayley est quelqu'un de très sympathique, un bon show man, c'était une belle expérience.

MI. Vous avez aussi ouvert pour Paul Dianno, il a une sacré réputation !
Chris. Il est à la hauteur de sa réputation ! [Rires] Je ne vais pas critiquer Paul mais oui il n'est pas très sympathique. Il ne nous a même pas adressé la parole, ni à ses musiciens d'ailleurs. Mais ses musiciens de l'époque étaient très sympas et eux nous ont parlé.

MI. Vous êtes fans de Paul Dianno ?
Chris. Bien sûr. Je le suis toujours ce n'est pas parce que cela s'est passé comme ça que je ne le suis plus. Le concert était génial. C'était au Moulin de Brébant, une très belle salle. Après Paul a fait son truc et nous le nôtre.

MI. Vous avez ouvert pour VANDEN PLAS ?
Chris. Oui, c'est un très bon souvenir. Toutes les premières parties que l'on a faites il n'y a pas eu de mauvais moments.

MI. Quel est le show qui t'a le plus marqué
Chris. Pour moi c'est Blaize Bayley. C'est une personne très abordable, très sympathique après tout ce que l'on a pu dire sur lui à l'époque d'IRON MAIDEN. C'est sûr que passer après Bruce Dickinson ce n'était pas évident. Mais ses projets solos sur scène étaient juste géniaux. Voilà.

MI. Vous avez collaboré pendant de nombreuses années avec Gilles Kaufman, que vous a-t-il apporté ?
Chris. Gilles est un ami. Il avait un petit studio d'enregistrement et c'est lui qui nous a proposé d'enregistrer le premier cd pour se faire la main car il venait d'ouvrir sa boite de production. Cela s'est bien passé, il nous a fait un son correct, on s'est lié d'amitié et on a continué avec lui.

MI. Vous avez continué avec lui ?
Chris. Non, il n'a plus de studio. The Wayward Son a été enregistré dans le home studio de Nicolas et la batterie a été faite par Thomas.

MI. C'est plus facile de travailler de cette manière-là ?
Chris. Oui, on n'est pas pressé par le temps. Tu peux mettre six mois pour faire le mixage et ça ne va pas te couter d'argent.

MI. Vous avez enregistré pendant combien de temps ?
Chris. Huit mois, un an. Mais ce n'était pas tous les jours. Thomas a enregistré sa batterie et nous l'a envoyé car il y a quelques kilomètres qui nous sépare (ndi : il est de Besançon). Ensuite Nico m'appelait et quand j'avais le temps de mettre la basse, je venais. On a tous un travail à coté, on a mis du temps à le faire mais on voulait que cela soit très bien fait. On ne voulait pas se louper sur cet album.

MI. A l'époque de la sortie d'Ov Asylum vous avez déclaré que c'était une sorte de thérapie, un testament pour SEYMINHOL !
Chris. Je ne sais pas qui a écrit cela ! [Rires] ... Ce n'est pas moi, remarque peut être... [Rires]

MI. Vous sentiez que c'était la fin ?
Chris. Oui on avait quand même une sorte de ras le bol du fait de faire des choses et de voir que ça n'évoluait pas plus que ça. Oui, quelque part on était démotivé.

MI. Il y a énormément de formation qui font appel à un financement participatif. Seriez-vous tenté par cette expérience ?
Chris. Pas du tout.

MI. Pourquoi ?
Chris. Parce que l'on est comme ça, on fait tout par nous-mêmes. On l'a toujours fait et je pense que l'on continuera comme ça, il n'y aura pas de changement.

MI. Tu ne serais pas tenté de travailler avec un grand producteur ?
Chris. Oui, pourquoi pas. Nous on est toujours partant après on ne veut pas faire n'importe quoi, il faut toujours voir les conditions.
Thomas. On ne va pas hypothéquer notre maison pour travailler avec une personne. Si on a de quoi sortir un album dans ces conditions on se le finance point barre ou alors des gens sont prêt à miser sur nous.
Chris. On aurait pu avec Andy Kuntz. Mais on a dit non.

MI. Vous avez du caractère !
Chris. On sait ce que l'on veut et personne ne choisira à notre place, c'est sûr et certain.

MI. Vous avez une certaine notoriété à Metz ?
Chris. Oui, il y a une notoriété. Je pense que c'est un peu pareil pour tous les groupes. Il n'y a rien qui est facile. Il y a une grosse scène Metal à Metz mais plus extrême. Il y a quelques groupes de Heavy.

MI. Vous êtes un peu à part ?
Chris. Tant mieux. J'espère.

MI. C'est un album important pour vous ?
Chris. Oui, c'est l'album du retour. Pour l'avenir, nous travaillons sur l'écriture d'un six titres qui devrait sortir en même temps que le clip.
Thomas. Cela sortira à l'automne.
Chris. C'est un Ep qui fait partie de la suite d'Hamlet. On veut aussi ressortir très vite un autre disque et rattraper les six ans perdu.

MI. Vous prévoyez des dates pour défendre The Wayward Son ?
Chris. On espère bien, on a Charles Zampol qui s'occupe de nous et aussi Roger Wessier.
Thomas. Il y a aussi des personnes du Trinitaire à Metz qui nous ont permis de faire la release party. Il y a du monde derrière nous. Merci à Charles Zampol, Roger Wessier et pour les trinitaires Nicolas Teuché.
Chris. Ils travaillent avec nous et c'est un gros coup de pouce que l'on avait pas avant. J'espère que cela fera avancer les choses.

MI. Merci à tous les deux.
Chris. Merci à toi.
Thomas. Merci à toi et longue vie à Metal Impact.

Interview : SEYMINHOL (FRA) - Chris Billon Laroute et Thomas Das Neves (Juin-2015)


Ajouté :  Mardi 02 Février 2016
Intervieweur :  The Veteran Outlaw
Lien en relation:  Seyminhol Website
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